Orpheline
Dieux impavides, l’automne frémit
Aux souffles misérables d’octobre désolé
Sous la caresse dépouillée
Le dérisoire envol d’une brindille transie
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Dieux impavides, l’automne soumis
Aux ombres orphelines de sa couche rousse
S’immole aussi, s’immole en douce
Le noir envol d’un oiseau trahi
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(photo : Michael Kenna)